Coup de chaud dans L’amour est dans le pré 2025. Lors de l’épisode 2, déjà disponible sur M6+Max, Pierrick a fait face à des prétendantes très entreprenantes. Attention, spoiler !
L’amour sera-t-il dans le pré pour Pierrick ? L’éleveur de vaches laitières et de poules âgé de 62 ans et installé en Bretagne est dans l’épisode 2 de L’amour est dans le pré 2025 déjà disponible sur M6+ Max (dont la diffusion est prévue pour le 1er septembre sur M6). Et on peut dire que la température a grimpé lors de ses rendez-vous avec ses prétendantes.
Les deux coups de coeur de Pierrick dans L’amour est dans le pré 2025
Lors du tournage de son portrait, Pierrick a fait savoir qu’il souhaitait rencontrer une femme coquine. “Je suis un joueur. (…) Pas dans le noir, la lumière éteinte“, avait-il notamment confié à Karine Le Marchand. Ce sont donc des prétendantes décomplexées et très à l’aise avec le sujet qui lui ont fait face.
C’est la sexagénaire Valérie, venant aussi tout droit de Bretagne, qui a ouvert le bal. Un coup de coeur au courrier comme lors du speed-dating. Tous deux étaient très tactiles et la prétendante a fait savoir qu’elle “ne refuse aucun plaisir dans la vie“. Un aller direct pour la suite de l’aventure. Tout comme pour Livie, une Suissesse de 52 ans qui lui “avait tapé dans l’oeil dès l’ouverture du courrier“. Elle se disait très tactile et parfois surprenante et “très libertine“.
Des prétendantes très entreprenantes
C’était moins évident avec d’autres femmes qu’il a rencontrées, malgré leur côté parfois très coquin. Agnès, une employée de grande surface lui a lancé : “Je suis faite pour utiliser mes mains. Je suis ambidextre.” Jacqueline, une aide-soignante, a pour sa part fait savoir que, comme Pierrick, elle n’aimait pas non plus faire l’amour sans la lumière. “Je n’ai pas honte de mon corps“, a-t-elle ajouté. Et Christelle, une factrice, a assuré qu’elle était ouverte et qu’elle n’avait pas de tabous.
Mais la palme revient sans doute à Hélène, une apprentie sophrologue. “La première chose que je me suis dit en te regardant c’est : ‘Toi, tu es un coquin.’ Il faut s’assumer tel que l’on est. (…) Le lit ? Pourquoi toujours le lit ? Même pour le côté charnel, il faut être ouvert“, a-t-elle déclaré. Et peu de temps avant la fin du rendez-vous, elle lui a demandé : “Tu en as déjà fait du libertinage ?” Après avoir appris que ce n’était pas le cas, elle a repris : “D’accord. Parce qu’on ne va pas s’étaler, mais je connais bien mon truc.” Pas de chance pour elle, Pierrick passe son tour.
“Même si Pierrick n’a pas caché son goût pour la bagatelle, notre aviculteur breton a rencontré quelques amazones plus entreprenantes que lui“, a constaté Karine Le Marchand qui s’est amusée de la situation.