Alors qu’Anaïs fait ses adieux à sa brigade, Lionel se fait manipuler par sa petite sœur. Quant à Malik, il est démasqué par les élèves du master. Des événements à découvrir dans l’épisode d’Ici tout commence du mardi 26 novembre.
Dans l’épisode d’Ici tout commence du mardi 26 novembre… Comme Jude remplace Anaïs au Double A, Enzo suggère qu’un autre chef prenne sa place au « restaurant laboratoire ». Mais les jeunes chefs ont toujours le moral dans les chaussettes à cause du critique mystère. Lionel et Tom ont un plan pour le démasquer : l’attendre devant la chambre froide et le cueillir quand il viendra goûter les plats. De son côté, Enzo s’en plaint à Rose, qui est en compagnie de Clotilde. Celle-ci reconnaît être sans le vouloir à l’origine de cette triste affaire. Plus tard, dans les cuisines du master, Quentin et Tom se cachent en entendant du bruit mais sortent de leur planque en voyant Malik, qui a failli se faire piéger donc. A cet instant, ils reçoivent un message d’Enzo sur le groupe du master pour balancer aux jeunes chefs que le critique mystère est bien Malik, mandaté par Teyssier.
Ici tout commence en avance : Lionel se fait avoir comme un bleu
La journée commence mal pour Lionel, qui s’emporte contre Inès avant de se raviser et jouer la carte de l’éducation positive, une méthode basée sur le ressenti et non l’accusation. Et ça marche, l’ado débarrasse son bol de céréales qu’elle laisse traîner TOUS les matins. Maligne, Inès manœuvre son frère si bien que celui-ci lui prête sa carte bancaire pour acheter un livre de maths. La bonne blague ! Fier de lui, Lionel s’en va se vanter de ses exploits auprès de Zoé. en fin de journée, c’est la douche froide quand il se rend compte qu’il s’est fait avoir comme un bleu par sa petite sœur. Inès a en effet fait chauffer sa carte bleue… en fringues. A ce moment, Lionel reçoit un appel d’une assistante sociale, qui a eu vent de la situation familiale d’Inès. Elle veut faire une visite pour s’assurer que la jeune fille « vit et étudie dans un environnement adapté ». La grosse, grosse tuile.
Ici tout commence en avance : Anaïs quitte l’Institut
Ce matin-là, Anaïs a fait son paquetage et s’apprête à quitter l’Institut. « Je dois gérer une brigade, donner des ordres, me faire entendre dans un univers qui est ultra bruyant, je ne vais jamais y arriver avec ça, dit-elle à Milan. Et quand bien même j’arrive à mieux entendre, ce ne sera jamais suffisant pour ce travail. […] Je n’ai pas envie d’espérer tous les jours que ça aille mieux. […] J’ai juste besoin de rentrer, de chialer un bon coup et de me dire que la cuisine, c’est fini pour moi. »
Milan débarque ensuite dans le bureau de Teyssier pour l’informer du départ d’Anaïs. Le jeune homme a une idée pour retenir sa petite amie mais il a besoin de son accord. Il voudrait adapter le prochain service afin qu’elle se rende compte de son erreur. « Si elle ne fait pas ce service, je pense qu’elle n’en fera plus jamais », insiste-t-il.
En allant dire au revoir à sa brigade, Anaïs ne s’attendait pas à ce que Jude, Vic et consorts lui proposent d’assurer le service sans ses aides auditives. Léo lui explique que tout le monde a téléchargé l’application pour communiquer avec elle et que Teyssier a accepté d’adapter le service. Touchée, la cheffe Grimbert se laisse convaincre.
Ici tout commence en avance : Le critique gastronomique prêt à étriller Anaïs
En cuisine, malgré la bonne volonté de chacun, les choses ne se passent pas comme il faudrait. Anaïs n’entend pas le minuteur sonner et fait trop cuire son plat, elle bouscule ensuite une commis, qui renverse sa préparation… Sans compter qu’en salle, les clients perdent patience et que certains plats sont servis « avec une marinade trop acide ». Bref, c’est la cata. En tout cas, ce n’est pas à la hauteur des attentes de Jorys Kleber, le critique culinaire venu pour la dégustation d’Anaïs et resté dans la région malgré l’annulation de l’événement. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est sacrément déçu. « Je ne comprends pas ton engouement pour la cheffe Grimbert », dit-il à Teyssier, qui chercher à sauver la situation. Mais rien n’y fait, le journaliste s’apprête à faire une critique déplaisante.
Teyssier n’est pas fâché contre Anaïs. Il aurait vraiment aimé que les choses se passent autrement. Il l’informe des intentions de Kleber et tente de la persuader d’expliquer ce à quoi elle fait face pour justifier sa baisse de régime mais Anaïs refuse catégoriquement d’évoquer son handicap.
La jeune femme se change les idées dans les bras de Milan. Contre toute attente, cette nouvelle intimité donne « plein d’idées » à Anaïs, qui veut reprogrammer la dégustation pour… le lendemain ! « Kleber va écrire son article, il faut absolument que je le fasse changer d’avis », dit-elle à Milan, qui essaye de l’en dissuader. Sans succès !