Demain nous appartient en avance : Le violeur en série arrêté mais Michaël, Roxane et Timothée sont obligés de le relâcher ! Le résumé de l’épisode 1813 du mercredi 13 novembre 2024

Dans Demain nous appartient, Bastien a peut-être trouvé la bonne idée pour attirer l’attention de Lilou et Aaron perd son calme face à Chloé et Benny. Pendant ce temps-là, les flics sont obligés de laisser partir le principal suspect des viols en série…

Mardi 12 novembre 2024 dans Demain nous appartient, qui vient de changer de générique… Avant d’aller en cours, Violette et Lilou prennent un verre au Spoon. Visiblement troublée, la seconde raconte à la première sa désagréable impression d’avoir été suivie la veille au soir. Un mauvais feeling qui l’a obligée à aller se réfugier dans un bar et à appeler en panique sa mère. D’ailleurs, encore traumatisée par son agression, Lilou n’a encore rien dit à sa maman…

Demain nous appartient en avance : Bastien veut se raser la tête pour Lilou !
Au lycée, Bastien révise une leçon face à une Lilou dans ses pensées. Mais elle sort de sa léthargie en voyant débarquer Octave avec une nouvelle coiffure. Elle lui avoue qu’elle aime bien quand les garçons changent de coupe. Pour Bastien, cette info ne passe pas inaperçue. Et c’est ainsi qu’un peu plus tard, dans les couloirs du lycée, Bastien annonce subitement son intention de se raser les cheveux ! Il avoue alors que Lilou aime bien les visages dégagés ! Au Spoon, Violette met en garde Bastien à propos de son projet capillaire. Elle lui fait alors essayer une application permettant de visualiser différentes coupes. D’abord hésitant, il finit par accepter. Bastien refuse toutes les propositions jusqu’à ce qu’il en découvre une qui lui plaît ! En fin de journée, Violette s’affaire sur les cheveux de Bastien. L’objectif : lui faire des tresses. Mais la mission s’avère difficile…


Demain nous appartient en avance : Aaron s’emporte contre Chloé et Benny
Chargés du tri des médicaments, Chloé et Benny accusent le coup. Benny pense que c’est Aaron qui les a assigné à la réserve, pour se venger de la signature quelque peu forcée de sa convention de stage. Peu après, c’est une Manon heureuse de se tenir debout qui ramène son fauteuil roulant à l’hôpital, pour en faire don. Elle tombe sur Aaron et Samuel étonnés de la voir marcher. Elle les prévient de ne pas en informer ses parents : elle veut leur faire la surprise. Plus tard, Victoire titille Aaron à propos de la corvée infligée à Chloé et Benny. Il est surpris : il n’a rien à voir dans leur affectation à la réserve. Mais il ne cache pas non plus être encore remonté contre Chloé pour son sale coup. Avant de partir, Victoire laisse entendre qu’Aaron n’a pas forcément bonne réputation auprès de ses collègues. Peu après, Chloé et Benny viennent s’excuser auprès de lui. Elle va même en parler à Marianne à son retour afin que cette histoire de stage ne lui retombe pas dessus. Aaron accueille ces paroles avec bienveillance. Puis les deux infirmiers lui demandent d’être davantage auprès des patients. Aaron change alors de ton, arguant qu’il n’est pas en charge du planning des stagiaires ! En fin de journée, au mas, Benny est toujours remonté contre sa journée. Alex débarque et annonce qu’il doit encore faire des livraisons. Chloé propose son aide et Benny également.

Demain nous appartient en avance : Le violeur en série est remis en liberté !
Michaël et son équipe se rendent chez le psychologue Alain Belzeau, devenu le principal suspect dans l’affaire du violeur en série. Les policiers veulent fouiller son cabinet ainsi que son planning et son ordinateur. Mais Belzeau annonce qu’il vient de se faire cambrioler. Surpris, Michaël demande à ce que la police scientifique se rende immédiatement sur place. Il insiste malgré tout auprès de Belzeau pour obtenir sa liste de patients. Le psy accepte de lui faire de tête. Au même moment, dans un hangar vide, Ulrick Lesueur, le véritable violeur, brûle l’ordinateur et les dossiers de Belzeau.
Toujours sous protection policière, Soizic est escortée par Nordine. Ce dernier est déstabilisée par son attitude mais elle le rassure : si elle “tire la tronche”, ce n’est pas à cause de lui mais de son fils, qui n’arrête pas de faire des conneries. Au commissariat, Michaël fait le point sur le cambriolage avec Roxane et Timothée. Les analyses n’ont rien donné. Mais en épluchant la liste des patients de Belzeau, ils s’aperçoivent que Sara, Lilou et Soizic le consultent. Il est bel et bien le point commun entre elles. Mais Roxane tique sur un des noms : Ulrick Lesueur, le propriétaire du magasin de modélisme. Son profil pourrait bien en faire un suspect. Roxane en est même sûre ! Mais Michaël tempère : il leur faut plus d’éléments. Nordine et Michaël se rendent donc au magasin de Lesueur pour le ramener au poste. Il y est interrogé par Michaël. Pour chacune des dates critiques des agressions, Lesueur avance qu’il était chez sa mère, souffrante. Le flic lui demande ensuite s’il est impliqué, de près ou de loin, dans la sphère masculiniste, s’il est en couple, sur son rapport aux femmes… Il dit alors à Michaël avoir compris qu’il s’agissait de l’affaire du violeur et, en guise de bonne foi, lui donne son téléphone pour analyse. Suspicieux malgré ce geste volontariste, Feray lui annonce alors qu’il aurait également besoin d’un test ADN. Peu après, Roxane est résignée : la mère de Lesueur confirme ses alibis. De son côté, après avoir analysé le téléphone, Timothée arrive à la même conclusion : il n’a rien trouvé. Et comme Lesueur, dans son bon droit, a refusé le test ADN, les flics n’ont aucun élément pour le garder. Devant l’insistance de Roxane, Michaël accepte de faire appel au procureur.

 

En fin de journée, Michaël rapporte ses affaires à Lesueur. En quittant les lieux, avec un petit sourire narquois, il souhaite bonne chance aux flics pour arrêter le violeur. Roxane, qui le voit partir du commissariat, est sur le point d’exploser. Michaël tente de la calmer et lui glisse qu’il a rendez-vous avec le procureur le lendemain. En attendant, il ne peut rien faire.