Dans Plus belle la vie, encore plus belle, les policiers découvrent qu’Alix a fait une overdose. Les relations entre Thomas et Gabriel s’enveniment devant témoins et Babeth apprend la terrible nouvelle concernant Léa.
Plus belle la vie en avance : Vadim est suspecté du meurtre d’Alix, Babeth apprend le cancer de sa fille… Le résumé de l’épisode 295 du lundi 24 mars 2025
Dans l’épisode de Plus belle la vie, encore plus belle du lundi 24 mars 2025, disponible en streaming… À la résidence Massalia, les étudiants et Mirta se recueillent devant une photo d’Alix qui est morte et quelques bougies allumées en son honneur. Une mascarade que déplore Vadim, qui estime que tous ceux qui se recueillent aujourd’hui l’auront oubliée demain puisqu’ils ne la connaissaient pas. Des remarques que Nisma n’apprécie pas particulièrement, elle qui aimait tant Alix.
Plus belle la vie en avance : Alix a fait une overdose, la scène a été nettoyée
Au commissariat, Samuel semble touché par le cas d’Alix. Également sur l’affaire, Idriss lui rapporte que, d’après le médecin légiste, la jeune femme est décédée d’une overdose d’héroïne. Une information dont Samuel se doutait, ayant remarqué la couleur légèrement bleutée de la peau d’Alix lorsque les policiers l’ont trouvée. En attendant la suite du rapport d’autopsie, Samuel confie ne pas avoir eu l’impression que la jeune femme était en prise avec une addiction à la drogue. La scène du décès laisse les policiers perplexes : pas d’ADN, ni de trace de sperme n’ont été retrouvés. S’ils imaginent qu’Alix se prostituait pour acheter de la drogue, les policiers se demandent si l’homme avec qui elle avait des rapports au moment de sa mort était également sous emprise. Cependant, ils remarquent que ses poignets et ses chevilles ont été détachés après sa mort. Dans leur scénario, le client en question l’a donc regardée mourir sans appeler les secours, et l’a ensuite détachée avant de quitter les lieux.
De retour sur les lieux du crime, Samuel et Idriss apprennent de la bouche de Charlotte que l’appartement a été nettoyé à la javel et qu’aucune trace d’ADN n’y a résisté. Alors que la porte de l’appartement était fermée à clef, la policière scientifique montre à ses collègues l’énorme empreinte terreuse retrouvée au pied du mur derrière la fenêtre du salon. Si les enquêteurs imaginent d’abord que le tueur aurait donc quitté les lieux par là, l’empreinte ne leur semble pas correspondre au profil du tueur qui a pris le temps de nettoyer toute la scène. Les policiers apprennent alors que c’est Vadim qui a loué l’appartement.
Plus belle la vie en avance : Vadim ni toute implication et demande à Nisma de mentir à la police
Interrogé par les policiers, le jeune homme confirme avoir payé l’appartement pour dépanner Alix mais explique qu’il n’a posé aucune question à la jeune femme, considérant que cela relevait de sa vie privée. Il affirme avoir entretenu des rapports amicaux avec elle et, lorsque les policiers lui demandent où il était le soir du meurtre, il déclare avoir passé la soirée avec sa petite amie dans sa chambre.
Parce qu’il n’a pas passé l’entièreté de la soirée de mercredi – le soir du décès d’Alix – avec Nisma, Vadim lui demande de mentir à la police en omettant de préciser qu’il est parti une ou deux heures pendant qu’elle révisait. Nisma s’inquiète et raconte à son petit ami qu’Apolline l’a vu avec Alix le jour de sa mort. Vadim affirme de nouveau avoir été avec la jeune femme seulement pour payer sa location, que le sac était le sien et qu’il n’a pas demandé ce qu’il contenait ni ce qu’elle allait faire. Nisma fait le rapprochement entre le bondage pratiqué par Alix le jour de sa mort et celui que les amoureux ont pratiqué lors de leurs derniers ébats. Inquiet de voir sa petite amie le suspecter, Vadim tente de lui prouver qu’il n’a rien à voir avec cette histoire. En route pour le commissariat aux côtés d’Apolline, Nisma hésite encore à mentir pour le couvrir. Son amie lui rappelle les risques qu’elle prend tout en soulignant que ses sentiments amoureux brouillent son objectivité.
Plus belle la vie en avance : Les relations entre Thomas et Gabriel s’enveniment
Gabriel débarque au Mistral en peignoir, avec sa brosse à dents et sa trousse de toilette sous les yeux ébahis de Thomas et de sa clientèle. S’ensuit un énième affrontement. Tandis que le docteur Riva argue une coupure d’eau au cabinet et son droit de venir faire sa toilette dans un bar qui lui appartient du fait de son mariage sous le régime de la communauté de biens avec Thomas, ce dernier l’accuse de venir lui pourrir la vie. La dispute ne s’arrête pas au moment où Gabriel quitte le bar puisque Thomas, enragé, décide de le suivre dans la rue pour lui rappeler qu’il va devoir lui payer une prestation compensatoire. Quand Thomas traite Gabriel de “vieux beau” avant de tourner les talons, le docteur se venge en lui jetant sa claquette sur l’épaule. Mirta, au milieu de cette altercation, va immédiatement porter secours à Thomas.
Rapportant les faits du jour à son avocate, Thomas apprend que cette altercation joue en sa faveur. Peu importe l’importance de la blessure physique de Thomas, l’ampleur psychologique de celle-ci combinée à la provocation de Gabriel – qui pourrait être vue comme du harcèlement -, joue clairement en la faveur du barman.
Plus belle la vie en avance : Babeth apprend la maladie de Léa, elle part en guerre contre ce cancer
De retour chez elle, Babeth est très heureuse de retrouver Patrick. Sa joie s’évapore cependant très vite puisque son époux l’informe immédiatement de la maladie de leur fille. Babeth enrage contre lui lorsqu’elle apprend cette terrible nouvelle.
Après sa discussion plus que houleuse avec son époux, Babeth se rend directement au cabinet médical pour questionner sa fille sur son protocole de soin. L’infirmière rappelle à sa fille – qui tente de se justifier de ne pas lui avoir parlé de sa maladie – que c’est elle la mère dans leur histoire et que c’est à elle de protéger sa fille, pas l’inverse. Babeth montre alors à Léa à quel point elle est remontée et déterminée à gagner la bataille que sa fille a entamée contre son cancer. “Je te jure que tu vas gagner, personne n’a le droit de te faire du mal“, lance Babeth à sa fille, soulagée par la présence combative de sa mère.
Babeth poursuit sa croisade en convoquant le professeur Charles Carteron. Elle lui demande très clairement de l’assister dans sa procédure pendant l’opération de Léa. Tandis qu’elle vante ses connaissances de ce type d’opération et son professionnalisme, Babeth se voit répondre que sa proximité émotionnelle avec la patiente risque tout simplement de tout faire capoter. Pour Babeth, le fait que Léa se sente en confiance lors de cette intervention est primordial pour la réussite de l’opération. Sachant que Léa devrait être en partie réveillée pendant l’opération, Babeth insiste sur le fait que sa présence jouera en leur faveur. Bien que dubitatif, le professeur promet alors d’y réfléchir.