Julian Baudoin a profité d’une interview pour nous faire quelques confidences sur une scène marquante de Demain nous appartient sur TF1.
Demain nous appartient poursuit sa diffusion sur TF1, et le personnage de Liam a été arrêté par la police de Sète pour avoir orchestré les agressions du zodiaque contre ses camarades de classe, ainsi que contre le professeur de français, François. Parmi les victimes, Violette, du signe du Poisson, qui s’est retrouvée piégée dans des filets de pêche au port de Sète.
Une scène marquante dans Demain nous appartient
Il semble que cette dernière scène ait été particulièrement forte en émotions pour le comédien Julian Baudoin, comme il nous l’a confié.
“C’était génial ! Nous avons travaillé avec des équipes extérieures pour réaliser tous les plans sous l’eau. Nous avons préparé ça très en amont avec Salomé Benitha (Violette). Nous sommes allés à la piscine de Nîmes pour faire un stage de plongée, car nous travaillions à trois mètres sous l’eau. Il y avait des gens à nos côtés qui nous aidaient à reprendre de l’air et nous donnaient des masques. Participer à ce moment, c’était fou.” nous a-t-il appris. Si cette séquence a marqué l’acteur, il semble que son arrivée dans la série quotidienne Demain nous appartient l’ait également particulièrement touché. “C’était super cool. Tu découvres tout, c’est un peu comme Disneyland, il y a des décors partout. C’était vraiment très drôle.” nous a-t-il confié avec sincérité.
Liam, un personnage phare de la série quotidienne
Depuis son arrivée dans le feuilleton quotidien de la première chaîne, le personnage de Liam a particulièrement marqué les esprits des téléspectateurs grâce à sa romance avec Lilou. Cependant, dans les derniers épisodes, la jeune femme a décidé de mettre un terme à leur histoire, car elle est tombée sous le charme d’Octave Feray. Liam a donc dû apprendre à vivre avec cette séparation. Depuis son arrestation, Lilou s’en veut énormément, se sentant coupable et pensant que, si Liam a tenté de s’en prendre aux Sétois, c’est en partie à cause d’elle.