Dans Demain nous appartient, Kamel Belghazi interprète William Daunier, chef de service en médecine interne à l’hôpital de Sète. Invité du podcast Dhombres et de Lumières, il a accepté de révéler quelques secrets bien gardés…
Dans la blouse du docteur William Daunier, personnage emblématique de quotidienne de TF1 Demain nous appartient, Kamel Belghazi a accepté le principe d’une discussion sans tabous, dans le podcast Dhombres et de Lumières. L’occasion d’aborder, bien sûr, sa relation avec Julie Debazac, alias Aurore, son épouse à l’écran avec laquelle il vient de traverser de graves zones de turbulences, mais aussi son grand moment de solitude la première fois qu’il est arrivé à Sète sur le tournage, sans oublier sa relation avec Bernard Le Coq, son partenaire dans Une famille formidable.
Kamel Belghazi explique comment il a imaginé le look de William Daunier dans Demain nous appartient
Parmi les confidences révélées par Kamel Belghazi, l’une d’elles concerne les lunettes que porte son personnage dans Demain nous appartient : “Avant d’incarner ce médecin, présenté au départ comme une sorte de Docteur House à la française, je m’étais pas mal renseigné et j’avais une idée très précise de comment il allait être habillé. Par exemple, je voulais qu’il porte des lunettes de jeu, c’est-à-dire non correctives”, précise-t-il. Après avoir fréquenté les hôpitaux, le comédien s’était donc fait une idée précise du look de William Daunier et comptait sur cet accessoire pour l’incarner au plus juste. Manifestement, tout le monde n’approuvait pas son idée… “Un jour, en arrivant sur le plateau, poursuit-Kamel Belghazi dans le podcast, je n’ai plus retrouvé mes lunettes. J’ai demandé à tout le monde où elles pouvaient bien être, mais impossible de les retrouver. Ça a duré pendant des mois !“
Kamel Belghazi raconte comment où lui a volé ses lunettes dans Demain nous appartient
Jusqu’au moment où, poursuivant son enquête envers et contre tout, Kamel Belghazi découvre qu’il avait été berné ! “Une fois, je demande à une jeune habilleuse qui venait d’arriver si, par hasard, elle ne les avait pas vues. Et, quelques minutes plus tard, elle me les rapporte ! J’ai appris que la production me les avait cachées car elles provoquaient des reflets à l’image. On a arrangé ça très vite en les montant avec des verres spéciaux et les choses sont rentrées dans l’ordre. Mais ça m’a bien fait rigoler !”, conclut Kamel Belghazi pas rancunier.
La suite de cette rencontre est disponible sur le podcast Dhombres et de Lumières, ainsi que les rencontres avec Catherine Davydzenka, Olivier Marchal, Audrey Fleurot, Nolwenn Leroy ou encore Cécile Bois, entre autres !