Demain nous appartient en avance : Sébastien est dans le coma, Camille en danger, Zack va-t-il l’agresser ? Le résumé de l’épisode 1824 du jeudi 28 novembre 2024

Dans Demain nous appartient, Valentine a la mauvaise surprise de voir que son voisin au marché de Noël est Victor. Pendant ce temps-là, Camille ne sait qu’elle est en danger avec Zack…

Jeudi 28 novembre 2024 dans Demain nous appartient, également disponible en streaming… Raphaëlle, Camille, Maud, Martin et Nordine sont à l’hôpital. Inquiets, ils attendent des nouvelles de Sébastien, retrouvé la veille dans un état critique. Finalement, Aaron leur explique que la balle est passée près du cœur et qu’une transfusion sanguine massive a été effectuée. Sébastien est en coma artificiel, son pronostic vital est toujours engagé. Il fournit ensuite à Martin la balle extraite du corps du procureur et l’informe de la présence d’une autre blessure suspecte : une coupure nette dans la paume droite, qui date de quelques jours…

Demain nous appartient en avance : La guerre entre Valentine et Victor continue
Alex finit d’installer leur stand au marché de Noël de la ville. Bruno est très excité de démarrer la vente des huîtres. Il estime même qu’il va faire des étincelles et battre le record établi par Chloé l’année passée. Alex le met en garde : les chiffres réalisés par sa femme étaient impressionnants. Les deux hommes décident alors de faire un pari. Malheur au perdant : il devra récurer tous les bassins du mas pendant un mois. Au même moment, Valentine arrive au Little Spoon. Visiblement elle est dépassée. Bruno se propose alors de l’aider. Valentine apprécie son soutien mais elle est aussi troublée : elle ne sait pas qui tient le stand à côté du Little Spoon. Bruno lui dit que c’est un vendeur de tartiflettes au maroilles… avant que Victor Brunet ne débarque pour prendre possession du fameux stand, au grand dam de Valentine. Elle n’a certainement pas oublié que c’est lui qui l’a virée du domaine viticole. De son côté, Alex rappelle que Brunet a tenté de la pousser à la faillite. Un peu plus tard, Timothée rend visite à son père et lui fait remarquer que le Little Spoon a plus de succès que son stand de vente de vin, rajoutant que Valentine est une excellent vendeuse et qu’il n’aurait jamais dû la virer du domaine. Victor s’énerve tout en accordant que la vente en direct n’est pas forcément son fort. En début de soirée, Alex, Bruno et Valentine font le bilan de leur journée. Et visiblement les ventes ont été au rendez-vous, ce qui n’est pas le cas pour Victor.

Demain nous appartient en avance : Mia virée de la chorale !
À l’hôpital pour son rendez-vous kiné, Mia, qui a vraiment envie de cartonner avec la chorale, chantonne mais Octave la titille sérieusement. Au lycée, la constitution de la chorale se poursuit dans la douleur : Lizzie fait faire des vocalises à Lilou, Violette ou encore Bastien mais le résultat n’est pas satisfaisant. Ils discutent alors du choix de la chanson qu’ils vont interpréter. Ils se mettent d’accord sur un point : ce doit être une création originale. C’est alors que Mia débarque, étonnée que les répétitions aient débuté sans elle. Tout le monde est gêné. Lizzie finit par lui avouer qu’ils n’ont pas été convaincus par sa prestation. Mia accuse le coup avant de partir. En fouillant dans de vieilles affaires, François tombe sur un trophée remporté dans sa jeunesse après un concours de chant. Témoin de la scène, Alain est pris par l’émotion, les souvenirs remontant peu à peu à la surface. Au Spoon, Mia est encore vexée d’avoir été évincée de la chorale. Son père l’encourage à poursuivre le chant. Octave, lui, est plus catégorique : elle doit arrêter le chant sur le champ. Mais cela ne veut pas dire qu’elle ne doit pas mettre au service de la chorale son talent caché ! Au lycée, Lilou, Violette, Lizzie et Bastien ont du mal à se mettre d’accord sur les paroles de leur chanson. Or le temps presse…

Demain nous appartient en avance : Camille en danger !
À l’hôpital, Chloé rend visite à Raphaëlle, qui est au chevet de Sébastien. Elle lui conseille de rentrer chez elle et de retrouver ses filles mais Raphaëlle rechigne à partir. Au commissariat, Martin et Karim ont reçu le rapport d’analyse de la balle : il s’agit d’un calibre 9mm, rien de plus classique et, de surcroît, l’arme n’est pas fichée. Damien débarque avec une autre info : Sébastien ne s’est pas fait tirer dessus dans l’endroit où on l’a retrouvé. Pour les flics, qui ne savent pas que Zack est derrière tout ça, Prado est encore le suspect n°1. Ils estiment donc que ce dernier a déplacé le corps de Sébastien. Mais Damien a deux éléments prometteurs : le téléphone de Prado, qui est en cours d’analyse, et une balise GPS, qui devait se trouver dans la veste du procureur. Chez Raphaëlle, alors que Maud exprime son inquiétude pour son grand-père, Camille envoie des messages à Zack. C’est alors que Martin appelle Raphaëlle… Au commissariat, Martin montre à Raphaëlle la fameuse balise GPS, laquelle était connectée au téléphone de Prado. Il demande alors à sa compagne de fouiller ses affaires et celles de ses filles pour vérifier qu’aucune balise n’y a été dissimulée. Pour Raphaëlle, c’est une nouvelle preuve accablante de la culpabilité de Prado. Mais Martin, l’espace d’un instant, semble en douter. Au même moment, Zack se rend à la gare routière lorsqu’il reçoit un texto de Camille l’informant que son grand-père est entre la vie et la mort. Au commissariat, Martin exprime ses doutes sur la culpabilité de Prado à Karim. Pour lui, tout paraît trop évident et le fait d’avoir oublié téléphone et balise GPS est incohérent. Et s’ils se faisaient balader ? Alors que le soleil se couche, Zack est à l’hôpital, là où se trouve Sébastien…

La nuit est tombée. Camille s’éclipse discrètement de la maison pour rejoindre Zack. Elle ne pensait plus jamais le revoir. Il avoue qu’il boudait. Elle reconnaît ne pas avoir été cool avec lui. Ils échangent alors plus calmement. Zack propose alors à Camille de passer la nuit ensemble, chez lui. D’abord réticente, elle finit par se laisser convaincre et lui lâche un « T’es complètement dingue ! » en montant à l’arrière de son scooter. Il lui répond, le regard noir, « T’as pas idée… »