[PBLV 397] La camionnette de Thomas détruite : Nolan démasqué ? La piste du tarot se précise…

 


La semaine du 11 au 15 août 2025 de Plus belle la vie s’annonce riche en rebondissements au Mistral, entre romances brûlantes, tensions familiales et mystères policiers.

Entre Idris et Luna, la température monte dangereusement. Leur jeu de séduction, fait de regards insistants et de répliques taquines, ne laisse personne indifférent. Un après-midi, devant le commissariat, Idris se prépare à partir seul en patrouille lorsque Luna apparaît. Elle prétend que sa présence est due au hasard, mais Idris n’en croit pas un mot. Au lieu de partir seul, il l’invite à l’accompagner, transformant ainsi sa mission de planque en un moment à l’abri des regards indiscrets.

Pendant ce temps, Babette ne parvient toujours pas à pardonner Patrick, même si l’enquête l’a totalement innocenté. La blessure vient du passé : il y a vingt ans, il l’a trompée, et elle l’a appris par une autre personne. Pire encore, elle croise tous les jours le fils de cette femme, ce qui ravive sa colère. Patrick comprend que regagner son amour prendra beaucoup de temps.

Hector, de son côté, affronte les difficultés croissantes liées à sa maladie d’Alzheimer. Lors d’un test de mémoire, il réussit d’abord à retenir les mots « cigare – fleur – ballon », mais échoue à les rappeler après un autre exercice. Ce revers le bouleverse au point qu’il décide d’interrompre ses séances avec le docteur Sorini.

Sur la place du Mistral, Mirta mène un plaidoyer passionné pour sauver le bar, menacé de fermeture par le fisc. Ses paroles émeuvent Thomas, mais la loi est implacable : sans argent, il perdra l’héritage familial auquel il tient tant.

Au commissariat, Boer confie à Ariane que Jawad recherche la tombe de Gérard Santony, père d’un braqueur. Ariane, toujours sous le charme de Jawad, s’agace de cette méfiance. Boer, lui, est convaincu que ce n’est pas une simple visite de recueillement, ce qui promet de nouvelles tensions.

Enfin, Patrick mobilise ses équipes pour lutter contre la « soumission chimique », un fléau en pleine expansion. Malgré ses réticences initiales liées à un souvenir