Dans l’épisode Un si grand soleil n°1746 (diffusé le 10/09/2025), les spectateurs sont happés dans un tourbillon de tensions, où les relations entremêlées commencent à se fissurer brutalement.
En prison, Catherine se retrouve en grand danger : elle est agressée par une codétenue et manque même d’être étranglée pour une simple question d’argent. L’humiliation et la peur se lisent sur son visage, mais elle ne peut que promettre de payer lorsqu’elle verra son avocate. Quand Boris découvre les marques laissées sur le cou de sa mère, sa colère explose. Catherine le supplie de ne pas s’inquiéter, mais le cœur d’un fils ne peut rester impassible devant une telle scène.
Parallèlement, une autre intrigue amoureuse prend feu. Élodie est écartelée entre Élise et Pauline. Même si elle accepte un projet romantique à Paris avec Élise, son cœur, lui, bat uniquement pour Pauline – au point de lui avouer qu’elle ne pense qu’à elle. Ludo, le seul à connaître la vérité, ne peut s’empêcher de s’inquiéter pour Élodie. Ce voyage à Paris marquera-t-il un tournant, ou ne fera-t-il que souligner le fossé qui les sépare ?
L’histoire atteint un nouveau sommet dramatique lorsque Boris accuse publiquement Élisabeth, l’estimant responsable du piège tendu à Catherine. Il prend résolument le parti de sa mère et tourne le dos à Élisabeth Bastide, allant jusqu’à rompre tout lien avec elle. Claudine, craignant pour la sécurité de Catherine, souhaite l’isoler afin de la protéger. Cette rupture ne fragilise pas seulement Élisabeth, mais place aussi Muriel – sa fidèle bras droit – dans une position délicate, annonçant une tempête imminente mêlant sentiments et luttes de pouvoir.
💥 Boris abandonnera-t-il sa carrière chez L.Cosmétiques pour se consacrer entièrement à la défense de sa mère ? Comment Muriel réagira-t-elle face à cette décision impulsive ? Et l’histoire d’amour complexe d’Élodie la conduira-t-elle vers le bonheur ou la rupture ? Cet épisode promet une série de chocs inattendus, tenant les spectateurs en haleine.
Veux-tu que je transforme ce texte en critique émotive, avec le ton d’un chroniqueur passionné, ou plutôt en récapitulatif spoil journalistique plus direct et factuel ?